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La mutation du Parc zoologique répond aux préoccupations écologiques actuelles. Il est maintenant composé de six biozones distinctes, miroirs de biodiversité incarnant des problématiques de déforestation, de réchauffement climatique et de rapport entre les hommes et les animaux.
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Le bien-être animal avant tout et l’immersion maximale du visiteur ont guidé le dessin du projet. C’est un paysage global, celui d’une scénographie de points de vue, créant l’illusion de profondeur en multipliant les plans, en effaçant les frontières. Les écrans de ce paysage en coulisses sont végétaux et topographiques. Le Parc zoologique connaît ainsi bien plus qu’un changement de mode d’exposition des animaux. Il change de nature même : il n’est plus le lieu de présentation d’une collection animale, mais de celle d’une collection de biozones.
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Pour le visiteur, c’est désormais un voyage récréatif, ludique, pédagogique et culturel à travers ces diverses biozones. Chacune présente une faune, une flore, une topographie, des atmosphères et des ambiances spécifiques. À chacune correspond un paysage spécifique avec une palette végétale en conformité avec la biozone lorsque cela était possible.
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Le parc est constitué d’un écrin végétal homogène qui abrite la diversité des ambiances et des paysages. Cet écrin, qui conserve la plupart des massifs et sujets remarquables existants, crée une ambiance paysagère en harmonie avec le paysage du bois de Vincennes.
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