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La réhabilitation du considérable linéaire de promenade maritime (plus d’un kilomètre) en front de mer des Sables-d’Olonne, lieu d’une intense fréquentation estivale, passait par la réduction de la place accordée à la voiture sans l’exclure, au profit des autres modes actifs afin de favoriser en profondeur la promenade depuis le pied des façades jusqu’à la plage. La réalisation d’un encorbellement recouvrant partiellement les cabines de plages en contrebas répond à cet enjeu.
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Abaissé de quelques marches par rapport à l’espace circulé, ce balcon sur la mer, qui épouse la belle courbe de la plage et dialogue avec l’horizon, renouvelle la déambulation en bord de mer, donnant un nouveau cadre à la passegiata nocturne en haute saison.
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La mise en lumière des espaces s’est avérée cruciale : pour éviter de créer un mur lumineux occultant le paysage nocturne, l’ensemble des éclairages se dirigent vers le sol et opèrent de manière indirecte, le plus souvent intégrés aux éléments bâtis et notamment au garde-corps épais qui vient de cette manière encore évoquer la courbe de la plage en contrebas. La courbe est également soulignée par l’alignement des plantations abondantes sur ce nouveau “plateau promenade” qui révèle et intègre à la fois la diversité des séquences du front urbain.
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La réhabilitation du considérable linéaire de promenade maritime (plus d’un kilomètre) en front de mer des Sables-d’Olonne, lieu d’une intense fréquentation estivale, passait par la réduction de la place accordée à la voiture sans l’exclure, au profit des autres modes actifs afin de favoriser en profondeur la promenade depuis le pied des façades jusqu’à la plage. La réalisation d’un encorbellement recouvrant partiellement les cabines de plages en contrebas répond à cet enjeu.
Abaissé de quelques marches par rapport à l’espace circulé, ce balcon sur la mer, qui épouse la belle courbe de la plage et dialogue avec l’horizon, renouvelle la déambulation en bord de mer, donnant un nouveau cadre à la passegiata nocturne en haute saison.
La mise en lumière des espaces s’est avérée cruciale : pour éviter de créer un mur lumineux occultant le paysage nocturne, l’ensemble des éclairages se dirigent vers le sol et opèrent de manière indirecte, le plus souvent intégrés aux éléments bâtis et notamment au garde-corps épais qui vient de cette manière encore évoquer la courbe de la plage en contrebas. La courbe est également soulignée par l’alignement des plantations abondantes sur ce nouveau “plateau promenade” qui révèle et intègre à la fois la diversité des séquences du front urbain.
